Tout ce qui va toucher au contexte neuro-immuno-endocrinien. On trouve l’importance de la fatigue, du sommeil, du stress et de l’axe hypothalamo-hypophysaire.
Souvent nous oublions de demander « Comment avez-vous dormi dans les deux dernières semaines ? ». À ce lien, vous trouverez quelques astuces pour améliorer le sommeil selon Jason Silvernail, qu’il a emprunté à la National Sleep Foundation :
1. Dormez dans une pièce sombre, silencieuse et fraîche.
2. Posez vos appareils électroniques 1 heure avant d’aller au lit.
3. Utilisez votre chambre simplement pour coucher.
4. Faîtes la sieste de manière avisée.
5. Sortez du lit si vous n’arrivez pas à dormir, la règle des 15 minutes.
6. Maintenez une routine du coucher régulière.
7. N’allez pas au lit en ayant faim, allez aux toilettes avant.
8. Finissez vos exercices 3 heures avant le coucher. (Ne plus appliquer selon cette revue systématique)
9. Pas d’alcool ou de nicotine 3 à 6 heures avant d’aller au lit
10. Pas de caféine au moins 6 heures avant le coucher.
Les facteurs psychologiques sont également importants et ces questions intéressantes permettent de les investiguer :
- Qu’est-ce qui vous fait peur dans cette douleur ?
- Qu’est-ce qu’il se passe dans votre corps ?
- Comment vous faites pour surmonter cette situation ?
Enfin, le dernier facteur qui est évoqué est le floutage cortical, c’est à dire la perturbation du schéma corporel, comme mis en évidence par Moseley dans ce papier, ou Tsay dans celui-ci.
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