Le stress psychologique peut causer une lombalgie même en l'absence de lésion tissulaire.
Si la sévérité de la douleur lombaire augmente, j'ajuste immédiatement l'intensité de mon traitement en conséquence.
À long terme, les patients souffrant de lombalgie ont un risque plus élevé de développer des troubles de la colonne vertébrale.
Les facteurs expliquant la lombalgie sont inconnus.
Si le traitement n’améliore pas les symptômes de la lombalgie, il y a un risque élevé de limitations fonctionnelles sévères sur le long terme.
Apprendre à gérer le stress favorise la guérison de la lombalgie.
La douleur est un stimulus nociceptif indiquant des lésions tissulaires.
La réduction de la douleur est une condition préalable au rétablissement du fonctionnement normal.
Les exercices pouvant provoquer des douleurs lombaires ne doivent pas être évités pendant le traitement
Un patient souffrant de lombalgie sévère aura des bénéfices suite à de l'exercice physique.
Une douleur accrue indique de nouveaux dommages tissulaires ou la propagation de dommages existants.
Les limitations fonctionnelles associées à la lombalgie résultent de facteurs psychosociaux.
Même si la douleur s'est aggravée, l'intensité du prochain traitement peut être augmentée.
Les patients souffrant de lombalgie doivent de préférence ne pratiquer que des mouvements sans douleur.
Il n'y a pas de traitement efficace pour éliminer la lombalgie.
Un traitement peut être considéré comme réussi même si des symptômes de douleur persistent.
Si les patients se plaignent de douleurs pendant l'exercice, je crains que des dommages ne soient causés.
La lombalgie indique la présence d'une blessure organique.
La gravité du dommage tissulaire détermine le niveau de douleur.
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